AMESys
analyse
Syrie : le marché lucratif de la surveillance des cyber-dissidents - 4 décembre 2011
Pour traquer et réprimer ses opposants, Bachar al-Assad a fait appel à une société italienne qui a mis en place un système de surveillance sophistiqué. Coût de la transaction : 13 millions d’euros.
Pétrole, finance, logiciel et équipement de surveillance. L’Union Européene a pris des nouvelles mesures de sanction envers la (...)
analyse
Internet massivement surveillé - 4 décembre 2011
WikiLeaks rend public aujourd’hui près de 1 100 documents internes, plaquettes commerciales et modes d’emploi des produits commercialisés par les industriels des systèmes de surveillance et d’interception des télécommunications.
Ces nouvelles fuites montrent un marché de la surveillance de masse représentant désormais (...)
analyse
Des réfugiés sur écoute - 4 décembre 2011
Ils sont poètes, journalistes, écrivains, historiens, intellectuels, et ont entre 50 et 70 ans. La plupart occupait un rôle clé dans les réseaux de l’opposition libyenne. Récemment, sept d’entre-eux vivaient encore en exil : quatre au Royaume-Uni, deux aux Etats-Unis, un à Helsinki. L’un d’entre-eux a été désigné, en août (...)
analyse
The Spyfiles - 2 décembre 2011
WikiLeaks : The Spy Files
Mass interception of entire populations is not only a reality, it is a secret new industry spanning 25 countries
It sounds like something out of Hollywood, but as of today, mass interception systems, built by Western intelligence contractors, including for ’political opponents’ are a (...)
information
WikiLeaks : une technologie française a permis d’espionner des opposants libyens à l’étranger - 1er décembre 2011
Les courriels de sept opposants libyens en exil, résidant au Royaume-Uni ou aux Etats-Unis, ont été espionnés dans ces pays, par un système d’interception et de surveillance vendu à la Libye de Kadhafi par une société française, révèle le site Owni.fr jeudi 1er décembre.
Le site s’appuie sur des documents internes de (...)
information
Libye : Amesys aurait bien espionné le net pour le régime Kadhafi - 6 octobre 2011
Mediapart publie un document qui prouverait que la filiale de Bull, Amesys, a bien participé à la surveillance du net en Libye via des méthodes d’inspection profonde de paquets (DPI).
L’affaire avait éclaté à la fin du mois d’août après que le Wall Street Journal a révélé qu’Amesys, une filiale du groupe français Bull, (...)
analyse
Mode d’emploi du Big Brother libyen - 10 septembre 2011
Mise en difficulté par les révélations successives de Reflets.info, d’OWNI, du Wall Street Journal et du Figaro, Amesys, l’entreprise française qui a vendu à la Libye du colonel Kadhafi son système EAGLE de surveillance d’Internet, a tenté de relativiser le scandale, dans un communiqué posté sur son site (miroir) :
Le (...)
analyse
Des sanctions doivent s’appliquer aux entreprises qui coopèrent avec les dictatures - 2 septembre 2011
Reporters sans frontières dénonce la coopération criminelle des entreprises occidentales oeuvrant notamment dans le domaine des nouvelles technologies avec des régimes autoritaires.
"Ces compagnies n’hésitent plus aujourd’hui à collaborer avec des gouvernements criminels. Fournir du matériel de communication ou (...)
analyse
Amesys/Bull : un parfum d’affaire d’État - 2 septembre 2011
L’affaire Amesys, du nom de cette filiale de Bull qui a vendu à la Libye un "système d’interception électronique permettant à un gouvernement de contrôler toutes les communications (Internet) qu’elles entrent ou sortent du pays" (voir l’article de synthèse que j’en ai fait pour OWNI, ou encore ce digest des principaux (...)
analyse
"Nos produits ont servi à commettre des exactions en Libye" - 2 septembre 2011
La société française Amesys, filiale de Bull, est mise en cause pour avoir installé son système de surveillance du Web en Libye. Baptisé Eagle, ce système a permis au régime de Kadhafi de lire tous les mails et de pister toutes les connexions des internautes libyens.
Laurent Blanc, délégué syndical CFDT de l’entreprise, (...)
analyse
Libya : Inside Col Gaddafi’s homeland security HQ - 2 septembre 2011
As forces loyal to Col Muammar Gaddafi retreat from Tripoli, they have left a trail of evidence about how his regime operated.
The BBC’s Orla Guerin gained access to Col Gaddafi’s homeland security headquarters and found hundreds of secret files.
analyse
Dans les coulisses de la surveillance électronique de Kadhafi - 1er septembre 2011
Jusque tout récemment, les agents de Muammar Kadhafi surveillaient les communications des Libyens grâce à des technologies occidentales.
Jusque tout récemment, les agents de Muammar Kadhafi filtraient les courriels et les messages instantanés des Libyens grâce aux technologies occidentales. Leur QG, une vaste pièce (...)
analyse
La Libye sur écoute française - 31 août 2011
Selon les confidences d’acteurs de la sécurité informatique, une entreprise française, Amesys, aurait vendu et déployé dès 2007 des technologies d’interception à la Libye du colonel Kadhafi. Dans le jargon, ces outils de surveillance très sophistiqués ont un nom : le DPI, pour "Deep Packet Inspection" , soit une technologie (...)
information
La preuve du double-jeu de la France en Libye - 31 août 2011
Un tout petit logo (ci-contre), une tâche quasi-invisible en haut à gauche d’une affichette (ci-dessous) placardée dans le centre de commandement de l’unité électronique de Mouammar Kadhafi, à Tripoli. Ce logo, c’est en réalité celui de l’entreprise française Amesys, fournisseur de matériel de surveillance très sensible à la (...)
information
Firms Aided Libyan Spies - 30 août 2011
First Look Inside Security Unit Shows How Citizens Were Tracked
On the ground floor of a six-story building here, agents working for Moammar Gadhafi sat in an open room, spying on emails and chat messages with the help of technology Libya acquired from the West.
The recently abandoned room is lined with posters (...)
information
Une filiale de Bull fournissait à Kadhafi des équipements de surveillance du Web - 30 août 2011
Le Wall Street Journal est entré dans les locaux des services du renseignement libyen, chargés de surveiller les conversations des opposants, et y a fait une intéressante découverte. Le logo d’Amesys, entreprise française filiale de Bull, trône sur les manuels d’utilisation des ordinateurs abandonnés à la hâte et sur une (...)